Du fait de l’impact d’un lieu sur la Santé Globale, la connaissance de la géobiologie est primordiale pour l’être humain, mais pas seulement…
Les végétaux
Les plantes sont d’autant plus vulnérables aux agressions géobiologiques qu’elles ne peuvent se déplacer et son soumises à ces phénomènes 24h/24h.
Tous les végétaux sont concernés, les plantes comme les arbres. Dans une haie ou une allée de peupliers, on peut facilement constater des disparités; des arbres brûlés quand d’autres rayonnent.
Les agressions émanant du sous-sol sont parfois si fortes que les arbres se tordent, se penchent… pour les éviter.
Les animaux
Les animaux domestiques fuient tant que possible les zones géopathogènes d’eux mêmes. Cela a notamment été constaté chez les chiens et les chevaux. Les chats en revanche aiment séjourner à la verticale des nœuds Hartmann. On évitera donc de séjourner au même endroit que notre chat… bien qu’il aime se reposer dans le confort des coussins, même si ceux-ci sont en zone neutre.
Dans les élevages, les animaux sont moins libres de choisir leur emplacement. Des géobiologues travaillant avec des vétérinaires ont pu mesurer l’impact de certaines agressions géobiologiques sur la santé des bêtes.
L'impact des ondes artificielles sur la santé
L'électrosmog
L’industrialisation poussée et les télécommunications plongent notre organisme dans un chaos hertzien de plus en plus dense, et pernicieux car inaccessible à nos sens. S’ajoutant aux ondes agressives d’origine naturelle, une multitude d’ondes hertziennes nous assaille.
Certains scientifiques s’en émeuvent et ont créé le mot «electrosmog» pour désigner ce fatras d’ondes d’origines artificielles qui nous arrive de tous les azimuts et même des milliers de satellites qui gravitent au-dessus de nos têtes. Ces scientifiques prétendent que la progression de «l’électrosmog» double tous les quatre ans. Selon eux, la pollution électromagnétique constitue désormais une menace supérieure à la pollution chimique pour les êtres vivants.
L’électrosmog est une des facettes de notre envionnement. Cette pollution est grandissante et de plus en plus alarmante.
Quels sont les effets de cet environnement électromagnétique sur la santé ?
Notre corps est une antenne dont les cellules échangent, elles aussi, sur certaines longueurs d’onde de même que la charge électrique de leur membrane résulte de leurs échanges.
Formé des ondes artificielles électriques ou radioactives, l’électrosmog affecte insidieusement la santé physique et psychologique des plus fragiles et des plus exposés.
Ces agressions, détectables et mesurables, perturbent le fonctionnement des cellules. Elles entraînent maux de tête, insomnies, fatigue, baisse d’attention ou participent aux maladies les plus graves.
Les 2000 études indépendantes du rapport Bio-Initiative de 2007 (publié par un groupe de travail international composé de scientifiques indépendants, de chercheurs et de professionnels de la politique de santé publique) montrent que l’exposition aux champs électromagnétiques basses et hautes fréquences représente un risque considérable pour la santé.
Vidéo d'Alain de Luzan sur les ondes artificielles
L’électrosmog est de plus en plus médiatisé et pour cause, puisqu’il impacte la santé d’une population de plus en plus nombreuse. En effet, aux micro-ondes, lampes de chevets, pylônes électriques et radars, viennent s’ajouter la téléphonie mobile (antennes relais, smartphone et téléphones fixes sans fil), le Wi-Fi et même les plaques vitrocéramique… Découvrez où se loge cette pollution invasive et surtout: comment l’éviter.
Vidéo "Dangers des ondes: deux experts s’expliquent"
Deux experts en géobiologie font le point sur les ondes électromagnétiques: comment les mesurer et les comprendre? Les deux spécialistes nous donnent aussi des moyens de protections et de prévention.
Les champs électriques
Les effets biologiques les plus courants de la pollution électrique
Un champ électrique peut affecter notre équilibre nerveux tout comme notre rythme cérébral. Il pénètre peu profondément dans notre corps mais peut provoquer des tensions nerveuses et des insomnies.
Certaines personnes sont très réactives la pollution électrique: un radio-réveil, une lampe de chevet éteinte dont seul le fil du neutre est coupé (et non le fil de phase par lequel arrivent les électrons), un fil électrique sous le lit ou en appui sur la tête de lit, suffisent à les empêcher de dormir à provoquer de forts maux de tête.
Hormis les insomnies, surviennent aussi fréquemment l‘irritabilité, fatigue chronique, problèmes de peau chroniques…
Les champs magnétiques
Le champ magnétique alternatif d’une ligne à haute tension peut porter atteinte à la santé, surtout quand le voltage est élevé. En effet, le courant qu’elle transporte est alternatif. Cela signifie qu’il change de sens cent fois par seconde (soit 50 cycles par seconde = 50 hertz).
Comme le démontre l’expérience d’Oersted, une inversion de champ magnétique fait pivoter l’aiguille d’une boussole de 180°. Or, nos molécules d’eau dont notre corps est composé à 75%, constituent des dipôles, c’est-à-dire des aimants.
Les hyperfréquences
Depuis plusieurs années, avec insistance, la presse écrite s’interroge sur la nocivité des téléphones mobiles et des antennes relais.
Les hyperfréquences sont émises par toutes les technologies sans fil: téléphonie mobile et antennes relais, Wi-Fi, Bluetooth, téléphones fixes DECT, babyphones…
Pour comprendre le problème, il suffit de s’intéresser au principe du four à micro-ondes qui fonctionne aussi avec une technologie basée sur les hyperfréquences: à partir d’une certaine intensité, les fréquences alternatives font pivoter les molécules d’eau. Si l’aliment ne contient pas d’eau, il ne chauffe pas. S’il en contient, il devient brûlant en quelques secondes, du fait que les molécules d’eau pivotent 2,45 milliards de fois par seconde (2,45 gigahertz).
Notre corps est composé à 70% d’eau (jusqu’à 90% pour certains organes). La répétition de ce phénomène d’agitation de nos propres molécules d’eau sur une longue période a un effet délétère.
Sans parler de l’électrosmog ambiant, aujourd’hui de nombreuses personnes portent au quotidien très près du corps des téléphones portables, des montres connectées, des oreillettes et casques sans fil…
Par exemple, le contact répété et prolongé avec un téléphone portable cause irritation et échauffement de l’oreille, migraines mais aussi des atteintes plus graves: l’OMS a classé en 2002 les ondes électromagnétiques au tableau 2b « cancérogène probable ».
L'impact des phénomènes naturels
Les rayons ionisants
Le magma en fusion connait une désintégration radioactive des radioéléments qu’il contient: l’uranium et ses descendants se désintègrent jusqu’à devenir du plomb, dernière étape de la désintégration radioactive.
Ces transformations s’accompagnent d’un dégagement de chaleur intense et d’une émission de rayonnements gamma, très énergétiques qui fusent au contact de l’écorce terrestre à travers les failles et discontinuités du sous-sol, traversant même les immeubles.
On détecte le rayonnement gamma principalement à la verticale des cours d’eau souterrains, des discontinuités du sous-sol et des failles.
Issu donc de la radioactivité naturellement présente dans l’environnement, le rayonnement gamma ionisant peut dégrader ou détruire des cellules.
Le rayonnement gamma qui fuse à travers les fissures souterraines est ionisant, c’est-à-dire qu’il arrache des électrons aux cellules en les traversant. Ce fait est confirmé par les observations de la Bioélectronique de Vincent.
Comme les U.V. B, U.V. C, rayons X, les rayons gamma sont bien connus pour transformer les cellules saines en radicaux libres dont l’implication dans les cancers et les vieillissements n’est plus à démontrer.
Aujourd’hui, il est clairement démontré que le cancer correspond à une multiplication des radicaux libres qui provoque, par effet domino, une prolifération anarchique des cellules.
La faille ou discontinuité du sous-sol est l’agression la plus forte en géobiologie
Les failles sont le fruit d’une veine d’eau souterraine qui a creusé en circulant en sous-sol. En géobiologie, on parlera plutôt de « discontinuités » du sous-sol. Il s’agit le plus souvent de fissures dont l’ouverture peut aller de quelques centimètres à quelques dizaines de centimètres. Elles constituent l’agression la plus forte en géobiologie.
Ces agressions géobiologiques sont généralement visibles à la surface du sol à travers leurs effets. On les repère en observant leurs dégâts matériels dûs à l’arrachement des électrons par le rayonnement gamma: un mur ou un carrelage fissuré, une haie trouée, un manque d’écorce sur le côté d’un arbre… Ces fractures du sous-sol, même comblées par des alluvions ou un matériau plus meuble, canalisent des radiations ionisantes. La fissure causée par une faille réapparaîtra nécessairement quelques années après son rebouchage, puisque la rayonnement gamma s’attaquera à l’enduit, de la même manière.
Leur nocivité est double:
- Elles laissent passer le rayon gamma qui fuse du « manteau » de la Terre (même si la faille est étroite);
- Elles canalisent des gaz radioactifs.
Ainsi, les failles souterraines réduisent les chances de survie des végétaux, lézardent les murs en désagrégeant le liant de la pierre mais peuvent affecter la santé des humains. De la même façon, le rayonnement gamma peut endommager l’électronique. De nombreuses pannes inexpliquées, parfois en série, se produisent ainsi à la verticale de discontinuités du sous-sol. Dans un tel cas, nous devons avoir le réflexe de changer de place l’appareil défectueux après réparation.
Un géobiologue professionnel, en faisant l’étude de votre lieu d’habitation ou professionnel, pourra vous indiquer les zones neutres, à l’abri des failles (et de toute autre agression géobiologique) où vous pourrez séjournez en toute tranquillité, sans risque.
Vidéo: Cours d'eau souterrains, failles, ces agressions invisibles venues du sous-sol
Découvrez les différents types d’agressions géobiologiques émanant du sous-sol. Première partie: les cours d’eau et les failles. Quels sont les différents types de failles? Quel lien avec les cours d’eau souterrains? Quels sont les phénomènes physiques en jeu qui agressent notre métabolisme? Quel sont les impacts?
Les veines d'eau souterraines
Le rapport entre les veines d’eau souterraines et ces rayonnements ionisants
L’eau emprunte circule en sous-sol à travers les fissures qu’elle contribue à élargir. Or, c’est par ces mêmes fissures que fuse le rayonnement gamma en provenance du manteau terrestre. Les veines d’eau souterraines y circulent plus ou moins horizontalement, le rayonnement gamma verticalement.
Nous passons le tiers de notre vie dans notre lit, le plus souvent à la même place. Il peut d’ailleurs se produire qu’une personne dorme sur la rive d’un cours d’eau ou à la verticale d’une fissure du sous-sol et que son conjoint situé à quelques centimètres n’y soit pas exposé.
Les rayonnements gamma ont un effet ionisant. Ils peuvent alors fracturer notre ADN contenu dans leur noyau, tuant ainsi la cellule. Plus souvent, ils arrachent au passage des électrons à nos cellules, les transformant ainsi en «radicaux libres».
Ces cellules devenues très instables vont interagir avec les cellules saines qui les entourent et provoquent des désordres biologiques en série. Or, il se trouve que le dénominateur commun de tous les cancers est justement la prolifération des radicaux libres.
L'impact d'un cours d'eau
L’impact d’un cours d’eau souterrain sur la santé est d’autant plus important que sa pente est forte, son débit important, sa profondeur faible et que le sous-sol est compact.
La nature des perturbations émanant d’un cours d’eau souterrain peut être multiple:
- Variation thermique localisée, en raison de l’évaporation de l’eau à la verticale;
- Émanation de gaz radioactifs (radon 222, actinon): la Terre est comparable à une gigantesque cocotte-minute. Tout comme la vapeur d’eau fuse par les petits trous, le rayonnement gamma fuse de son manteau en fusion et de son écorce par les passages de moindre résistance que sont les discontinuités du sous-sol (traversant le cours d’eau puis la faille qui le surplombe ou seulement la faille si celle-ci est « sèche »);
- Stress électrique: La friction de l’eau contre les parois génère une différence de potentiel électrique à la verticale des rives. Il est plausible que ce soit elle qui déclenche la contraction musculaire involontaire du sourcier. Les cellules du corps humain sont stressées quand il reste immobile à la verticale d’un cours d’eau souterrain, les empêchant d’osciller normalement.
Peut-on se protéger des effets d’un cours d’eau souterrain?
La capacité de pénétration des rayonnements ionisants de type gamma leur permet de traverser jusqu’à 22 centimètres de plomb. C’est la raison pour laquelle, nous les détectons jusqu’en haut des immeubles.
Se protéger d’un rayonnement gamma, c’est donc s’en écarter. La seule façon d’éviter un cours d’eau est de le localiser précisément et de ne pas placer lits et sièges à la verticale. D’où l’intérêt des reports sur plan à l’échelle des géobiologues Géobios ®.
Le radon 222
Le radon 222 est un gaz radioactif soluble dans l’eau, relargué jusqu’à l’embouchure des veines d’eau souterraines principalement dans les régions granitiques (Massif Central, Bretagne, Alpes, Pyrénées…). On le détecte surtout dans les rez-de-chaussées des habitations.
Les autorités sanitaires estiment que le radon 222 serait la cause de jusqu’à 12% des décès par cancer du poumon en France, soit la deuxième cause juste derrière le tabac au même niveau que le tabagisme passif.
Les réseaux telluriques
Réseau Hartmann, Réseau Curry, ondes telluriques, réseaux géobiologiques…
Alain de Luzan, fondateur de Géobios et de L’Ecole Française de Géobiologie nous présente ici les réseaux géobiologiques ou ondes telluriques. Ces agressions invisibles peuvent être d’origine électrique (Réseau Hartmann, Réseau Grand Réseau Diagonal…) ou magnétique (Réseau Curry…). D’où proviennent ces réseaux électromagnétiques ? Quel est leur impact?
Il existe un grand nombre de réseaux telluriques. Il s’agit de murs, ou de cordes invisibles, à peu près verticaux, qui constituent un maillage au sol en forme de filet. Ces réseaux multiples sont qualifiés d’ubiquitaires, car ils quadrillent toute la surface terrestre.
Les réseaux telluriques sont des rayonnements et non des courants. On les classe souvent en deux catégories:
Les réseaux globaux, orientés selon les quatre points cardinaux
Le réseau Hartmann
Comme tous les réseaux telluriques, le réseau Hartmann couvre toute la surface terrestre. Il forme un immense filet, plus ou moins régulier, qui monte verticalement. Il comporte des plafonds espacés verticalement d’environ 2,50 m. Il se resserre au voisinage des cours d’eau souterrains.
Il existe d’autres réseaux globaux nocifs que vous pouvez découvrir dans « Votre Santé en lieu sûr » (Réseau Romani, réseau Palm, rayons Peyré…).
Les réseaux diagonaux orientés à 45° (N-O / S-E et N-E / S-O)
Le réseau Curry
Ses murs sont épais d’environ 40 centimètres. Il est assez irrégulier dans son tracé. La distance entre les cloisons qui le constituent varie de moins de 3,50 à plus de 8 m (4,5 m en moyenne dans les deux sens). Il se déforme en fonction des masses ferromagnétiques qui l’entraînent.
Son impact est plus intense que celui du réseau Hartmann.
La superposition de deux nœuds, Hartmann et Curry crée un point « étoile » à éviter.
Le réseau Curry peut être simplement dévié de quelques dizaines de centimètres, à l’aide de masses ferromagnétiques. Cette pratique délicate est notamment enseignée à L’École Française de Géobiologie.
Le grand réseau diagonal
Il s’agit d’un phénomène électrique. Il est constitué de plans verticaux («cordes» ou «faisceaux») de 3 cm de largeur espacés en moyenne de 19 à 30 mètres et plus. Malgré la finesse de ses cordes et en conséquence, de leur croisement (nœud), le grand réseau diagonal est, après la faille, une agression géopathogène majeure.
Heureusement, s’il est détecté, ce réseau peut être déplacé par l’effet de pointe (technique pratiquée par les géobiologues).
La nature des réseaux telluriques
Les réseaux Hartmann et grand diagonal sont de nature électrique. L’expérience montre que leurs croisements peuvent être déviés de quelques dizaines de centimètres également, par effet de pointe avec des tiges verticales (même en bois). Cette expérience obéit aux mêmes lois que le paratonnerre inventé par Benjamin Franklin en 1752.
Le réseau Curry quand à lui est de nature magnétique, en attestent son comportement à proximité ou au contact de masses ferromagnétiques.
La multiplication des facteurs et leur cumul dans la durée
La durée d’exposition et la superposition de différents facteurs accentuent les risques d’impacts. Ignorer la multitude d’agressions invisibles peut avoir des conséquences sur votre vitalité.
Hippocrate, père de la médecine insistait sur l’importance de la salubrité du lieu pour rester en bonne santé. Dans bien des cas, ce n’est pas l’intensité des perturbations qui fait leur dangerosité mais bien la durée d’exposition. Leur intensité ne les rend perceptibles que chez des sujets hypersensibles. Or, si de nombreuses personnes ignorent totalement l’existence de ces perturbations, elles y sont pourtant vulnérables dans le temps.
De plus, les agressions géopathogènes ne s’additionnent pas, mais elles se multiplient entre elles! Un sous-sol perturbé accentue d’autant plus l’effet des ondes électromagnétiques.
Une expertise géobiologique méthode Géobios ® peut vous aider à vous prémunir des agressions issues de votre environnement.
Vous souhaitez avoir une définition de la géobiologie plus précise ?
Nous vous conseillons le visionnage de nos vidéos (entre 5 minutes et 1 heure 30) ainsi que la lecture du livre d’Alain de Luzan « Votre santé en lieu sûr », best-seller sur la géobiologie vendu à plus de 18000 exemplaires et édité 6 fois.